Nom: Smith
Prénom: Eléna
Age: 22 ans
Statut: Journaliste
Groupe : Habitant (journaliste)
Caractère :
Mes amis disent que je suis toujours celle qui met l'ambiance, la clown de service, si vous avez un coup de blouse vous pouvez compter sur mon talent naturel afin de vous redonner le moral. Avec moi vous êtes sur de passer un bon moment, je suis quelqu'un qui rigole tout le temps, même lorsque ça ne va pas vous ne pourrez pas vous en rendre compte. En effet, je déteste que les autres s'inquiètent de mon état, personne ne m'a jamais vu verser une larme, on me dit donc insensible et pourtant, je suis loin de l'être. Une carapace s'est formée tout autour de moi, et les chocs de la vie me permettent de m'endurcir. Pourtant, il m'arrive de craquer, lorsque je suis seule, les larmes peuvent dévaler mes joues comme tout le monde, je suis humaine après tout.
On dit de moi que je suis une séductrice née, oui, je ne m'en cache pas, j'aime les hommes, leurs formes.. Et ce que j'aime par dessus tout, c'est plaire, j'aime savoir que je suis belle, j'aime qu'on me le dise. On me traite souvent de prétentieuse, mais je ne considère pas cela comme un défaut. Après tout, n'est il pas plus agréable de voir quelqu'un bien dans sa peau plutôt qu'une personne renfermée sur elle même qui se déteste ? Je séduis, et j'aime ça. Mon physique est un atout, mon caractère aide aussi, je donne ce que l'on veut que je donne et puis une fois satisfaite je pars. Mais je ne suis pas une salope, du moins je ne me considère pas comme telle. Mais bon, je suis un être sauvage, jamais je ne m'attache..Et jamais personne ne m'attache.
Une autre qualité vient tout droit de mes amis, ils me disent « fidèles » en amitié, oui, c'est vrai, je ferais tout pour mes amis, ne t'avère pas de leur faire du mal où tu auras à faire à moi. Je suis de nature très protectrice, je déteste l'injustice et je suis toujours là à défendre le plus faible. Vous voyez le petit binoclard intello au premier rang de la classe ? Et bien, c'était ce genre de personne que j'étais sans arrêt entrain de défendre. Pourquoi des personnes aussi intelligentes devraient s'en prendre plein à la tronche par des petits cons ? Ils méritent tellement plus que ça. Je n'en étais pas pour autant vraiment amis avec eux, parce que nous n'avions rien en commun, cependant, dès qu'un gars s'attaquait à eux, je prenais part à la discussion. Oui, ça c'est mon insouciance, je ne me rends jamais compte tout de suite de la conséquence de mes actes, je vis au jour le jour et peu importe ce qu'il pourrait arriver suite à mes actions. Je suis insouciante, débile et spontanée..
Je crois que tout mon succès vient du fait que je suis très tactile, oui j'aime toucher. Lorsque j'aborde quelqu'un je pose directement ma main sur son bras, ou alors sur sa main, je le regarde profondément avec mes yeux. Et je suis aussi très câline, une espèce de nounours. Mais seulement lorsque je le veux. En effet, je ne suis pas « câlin » 24h/24, lorsque je ne veux pas qu'on me colle je peu rapidement vexer et repousser la personne. J'ai vraiment un caractère changeant, on me dit souvent lunatique..Un moment chaude, un moment froide, mais jamais tiède. C'est pour cela qu'on dit que je suis indéchiffrable, incompréhensible.
Description physique :
Mon physique est important pour moi, mais en revanche je ne suis pas superficielle. Il peut bien sur m'arriver de traîner en jogging quand je suis seule chez moi. Mais j'aime prendre soin de moi, de mon corps, me sentir belle. En réalité il est important que je me plaise à moi avant de plaire à quiconque. Au niveau de mes cheveux, je suis passée par toutes les couleurs, j'aime le changement et vous pouvez me voir un jour blonde, brune, rousse, cheveux courts, longs, lisses, bouclés. J'ai des yeux profonds, d'un marron éclatant et un sourire communicatif. Il est rare que l'on ne me rende pas mes sourires. Je ne suis pas petite, mais je ne suis pas grande non plus, par contre j'ai une taille très fine, on me demande souvent si je ne suis pas mannequin, non, je ne le suis pas, je suis journaliste et ça me suffit. Mon style vestimentaire, tout comme mes cheveux, est très changeant. Je m'habille en fonction de mon humeur.
Histoire: Il était 3h du matin lorsque notre jeune fille passa l’entre-jambe de sa mère. Dans la pièce, on aurait pu croire que le père tenait la main de sa femme mais non, monsieur était aux abonnés absents ce jour là. A la place c’était la grand-mère du petit qui aidait sa fille à passer le dur cap de l’accouchement. Au bout de 5 heures de dur labeur, elle sortit le bout de son nez, quel prénom lui donner ? Voilà toute la difficulté du moment. Sa mère n’en avait même pas parlé à son père, il faut dire que ce dernier n’avait jamais voulu avoir d’enfant et donc que là, c’était un accident. Après en avoir discuté longuement, elle finit par se décider pour un prénom assez original : Eléna.
Son enfance fut assez joyeuse, hormis l’absence du père qui travaillait tout le temps et qui ne partageait quasiment jamais rien avec sa fille, Eléna s’entendait très bien avec sa mère. Toutes les deux passaient tous leurs temps ensemble, elles allaient au cinéma, allaient faire du shopping, même si elle n'était pas fan de ce genre d'activité, c'était du temps précieux, du temps passé avec la personne qui lui avait donné la vie. Et c'est sans doute pour cela que désormais elle prend tout de même soin un minimum de son apparence… Sa mère prenait beaucoup soin d’elle pour espérer retenir son mari comme elle le pouvait mais rien y faisait, monsieur désertait la maison 6 jours sur 7. A cette période de sa vie, Eléna était une enfant aux anges, elle avait tout ce qu’elle voulait quand elle le voulait..Une petit enfant roi. Une mère qui l’aimait même si elle savait que souvent elle était malheureuse. Elle essayait de lui faire oublier ce manque qu’elle ressentait mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Surtout lorsqu'on est enfant et qu'on ignore tous les problèmes des adultes.
Vers l’âge de 11 ans, comme toutes les jeunes filles de son âge, Eléna passait beaucoup moins de temps à la maison et beaucoup plus avec ses amis. Délaissant un peu sa mère qui se retrouvait donc de plus en plus seule.
Flash backComme tous les jours après les cours, je pars faire un tour avec mes potes et je rentre juste pour l’heure du dîner. Je pousse la porte, dépose mon sac à l’entrée, balance mon manteau et m’avance vers la cuisine, la télé est éteinte, ce n’est pas comme d’habitude. Je me demande bien où se trouve ma mère.
« Maman ? »Appelais-je à haute voix en espérant une réponse de sa part. J’arrive enfin dans la cuisine, et c’est le trou noir, j’ai l’impression que mon cœur s’est arrêté de battre, je tombe à genoux sous le choc de ce qui se passe juste devant mes yeux. Ma mère est là, allongée, un verre d’eau brisé à côté de son visage. Elle est blanche, très blanche, trop blanche. Je m’approche, la touche, la gifle pour tenter de la réveiller, mes nerfs lâchent. Je cris, hurle, j’appelle au secours, mais je suis seul, elle est morte. Dans sa main, je remarque un papier, un mot m’attend. Je le lis et mes mains se mettent à trembler, mes yeux me piquent et mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Je ne cessais de relire cette lettre, les mots devenant de plus en plus flous à cause des larmes qui inondaient mes yeux.
« Ma chérie,
Je sais que tu trouveras cette lettre avant l’homme qui te sert de père. Tu m’en voudras probablement mais il est impossible pour moi de continuer à vivre, c’est trop dur. Ne t’en veux pas, ce n’est en aucun cas ta faute.
Ta mère qui t’aime. »Fin Flash Back.Depuis ce jour, tout avait changé. Pendant 3 mois, elle ne bougea pas de sa chambre, elle avait la haine, à la fois contre lui, contre sa mère et surtout contre son père. Eléna avait besoin d’extérioriser tout ça et souvent, elle faisait des crises où elle se faisait mal, oui il avait besoin de se faire mal pour aller mieux. Mais jamais elle ne tenta de se suicider, non c’était trop facile à son goût pour mettre fin à des souffrances. Lorsque son père découvrit le cadavre, Eléna déserta la maison à jamais, jamais elle ne remettrait les pieds dans cet endroit où elle avait vécu. Trop de souvenirs, trop d'angoisse, de tristesse et des joies, et surtout trop de haine envers cet homme. Cet homme qui désertait tous les jours pour rejoindre un garçon de 20 ans, oui, Eléna avait filtré son père un soir..Elle l'avait retrouvé dans une boîte pour gays, et autant vous dire qu'entre lui et ce jeune homme qui avait presque le même âge qu'Eléna, ce n'était pas une simple discussion. Que pouvait bien faire son père, la main dans le pantalon du jeunet ?
Aujourd'hui, j'ai 20 ans, je m'appelle Eléna Smith et je n'ai plus aucune famille. Ou alors, seulement dans le ciel, j'ai perdu mes amis et je vagabonde comme une solitaire dans les rues noyées de Berlin. Je viens d'arriver dans cette ville où je ne connais personne, loin de mes souvenirs, de mon ancienne vie. Si je suis ici, c'est pour tout recommencer, repartir à zéro et vivre une nouvelle vie. On en a qu'une et j'ai bien l'intention d'en profiter. Vous pensez que je suis à la rue ? Et bien non, j'ai mon appartement, à moi, ma mère m'a laissé un peu d'argent en partant. En ce qui concerne ma vie professionnelle, je viens d'être engagée en tant que journaliste par une agence qui tient un magazine pour « ados » assez célèbre.Star sur L'avatar: Keira Knightley
Prénom: Charlène
Age: 19 ans
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Autre : PIZZA =P *cachée* Ah oui et je vous fou un peu le bordel parce que je pique l'avatar d'un personnage prédéfinis ^^
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Sam 17 Avr - 3:26
